IL FAUT IMAGINER LE FUTUR, NE JAMAIS CESSER D’EN RÊVER ET TOUJOURS CONTINUER À L’ÉCRIRE…
En ce dernier jour d’une année 2024 qui restera pour moi la pire année « en terme d’observateur de la vie publique » que j’aurai vécu depuis mon enfance,
avec, sur le plan mondial, des guerres qui, « en s’associant et en s’agrégeant »… se mondialisent jour après jour
tandis que, dans le même temps, notre planète continue à se détériorer de manière accélérée… faute qu’en terme d’environnement elle soit une priorité pour les « dirigeants » des pays qui pourtant la dégradent,
tandis que sur le plan Européen, avec la guerre déclenchée il y aura 3 ans par la Russie contre l’Ukraine, une guerre meurtrière aux conséquences plus angoissantes encore que les menaces que j’ai pu connaitre du temps de la guerre froide et de l’URSS, des menaces clairement de guerre mondiale, voire nucléaire, de la part de Poutine et des siens qui sont de plus en plus directes
et qu’aux États-Unis après l’élection d’un Président dont on peut tout craindre…,
le « contact » prévisible « Poutine – Trump » m’évoque un film de 1964 « Docteur Folamour », un film qui m’a beaucoup marqué par les côtés fous et dérisoires de ses personnages…, des personnages qui ne manquent pas de nous rappeler certains de ceux d’aujourd’hui,
sans oublier notre France, ses 4 gouvernements en moins d’un an … (du jamais vu dans notre histoire)…,
une France, j’ose le dire, menacée de perdition avec un Président
que je ne qualifierai pas aujourd’hui par respect pour la Haute Fonction que lui ont confié les Français(es) dans les conditions que l’on sait,
… une situation que je n’ai jamais connu ni sous De Gaulle, ni sous Pompidou, ni sous V. Giscard d’Estaing, ni sous Mitterrand, ni sous Chirac… avant qu’ensuite cela commence à se dégrader avec Nicolas Sarkozy puis avec François Hollande
Dans un tel contexte, avec de tels événements et de telles situations, j’avais d’abord pensé à un autre titre beaucoup plus « neutre » par sa froideur hivernale :
« Une année de plus et avec elle une année de moins… s’achèvent… »
avant finalement de choisir de citer, une fois de plus, François Mitterrand, une preuve de plus que sa pensée reste, plus que jamais, d’actualité 29 ans pourtant après sa mort :
« Il faut imaginer le futur, ne jamais cesser d’en rêver et toujours continuer à l’écrire ».
Et c’est ce que je veux affirmer aujourd’hui avant, sans doute, de le confirmer lors de mes Vœux à l’Hôtel de Ville le 12 janvier 2025
et de créer, sans doute, le 27 février qui suivra « Ensemble pour Villeneuve d’Ascq 2026 »…
« Si l’avenir est en effet bien sombre », j’ajouterai « et justement parce que cet avenir est bien sombre », convaincu que je suis depuis toujours que « seuls les combats qu’on se refuse à mener sont perdus d’avance »… ce que je ne me sens pas le droit de faire, en particulier pour l’avenir de nos enfants et plus près de nous pour l’avenir de Villeneuve d’Ascq,
j’entends bien… sur tous les plans, du niveau mondial certes très modestement, jusqu’au niveau local plus directement, « imaginer le futur, ne jamais cesser d’en rêver et toujours de continuer à l’écrire ».
Au niveau mondial, c’est « le témoin (que je suis) des témoins » que furent mes parents et mes grands-parents…
des deux guerres mondiales du 20ème siècle avant d’être moi même le témoin direct de « la guerre froide »
ce témoin, disais je que je suis, qui le dit et le redit :
« Pour éviter une guerre, il faut s’y préparer afin de décourager tout adversaire »… et donc entrer sans tarder en « économie de guerre » pour éviter une défaite de l’Ukraine qui entraînerait d’autres invasions immédiates de la « Russie de Poutine » en Europe sous le regard sans doute « inactif » et distant des États-Unis de Donald TRUMP… comme ce fut le cas en 1940 avant leur désastre de Pearl Harbor.
Au niveau mondial un désir croissant (souvent islamisé) qui « se mondialise »… de détruire l’occident aggrave sans aucun doute les raisons de nous angoisser
si nous ne faisons rien pour nous donner les moyens de résister… à toutes les menaces d’où qu’elles viennent,
ce qui doit nous conduire à renforcer l’Europe politique et de défense,
une Europe qui risque de devenir le dernier « berceau » des démocraties… (et ce n’est pas gagné quand on voit les bouffées d’extrémismes populistes en son sein même).
Il n’y a pas de temps à perdre en ces domaines « guerriers » et de conquêtes,… pas davantage de temps à perdre pour ce qui est de la survie même de notre planète
que de multiplier sans tarder toutes les mesures possibles et acceptables par le plus grand nombre d’habitants pour éviter que notre planète finisse par être progressivement inhabitable… si elle ne l’est pas bien avant par le nucléaire…
Davantage que des « grands plans à 10, 20 ou 30 ans »… et de grands discours… au gré des changements de gouvernements
il faut retrouver très vite de la clairvoyance pour ce qui est de la situation internationale et du bon sens en particulier en termes de nature, d’alimentation de proximité, de déplacements mesurés, de vie plus simple et plus sereine…dans tous les sens des termes…
On me dira que c’est impossible… peut-être…
mais je répondrai que j’ ai vécu ce monde plus apaisé et plus naturel durant ma jeunesse et que donc, s’il a donc fallu peu de temps pour le détruire,
il n’en faudrait peut-être pas davantage pour le reconstruire en privilégiant « le bon sens humain » sur la soit disant « intelligence artificielle »…
le respect mutuel contre tous les égoïsmes teintés d’égocentrisme
Quant à la France… notre France… en perdition disais-je… fasse que nos politiciens cessent de jouer avec elle en 2025 pour leurs ambitions personnelles de 2027 !
D’abord, qui sait ce que sera 2027 en terme de calendrier électoral ?… pas moi en tous cas …
Ensuite, quelque soient les futurs gouvernements, que feront ils alors d’une France en ruine sinon chercher des « responsables » de leurs incapacités
et donc des bouc- émissaires comme sous Robespierre, sous Staline ou sous Poutine ?…
Le danger est à nos portes et c’est pour cela que je suis de ceux qui pensent que ce serait dramatique de voir début janvier une nouvelle motion de censure votée,
car même si le budget qui sera présenté ne nous plait pas,… avec une France sans budget, ce serait pire pour TOUS !
Que Mr Mélenchon et Mme Le Pen souhaitent le chaos en raison de leurs calendriers personnels… on sait pourquoi… (et « on ne fera pas boire un âne qui n’a pas soif « )
mais que le PS s’y prête, ce serait pour lui remettre en cause toutes ses valeurs et toute son histoire… voire son existence même…
Ce qui me conduit à parler des perspectives municipales pour Villeneuve d’Ascq prévues en 2026 si toutefois les situations ne bousculent pas les calendriers après 2025… en 2026 et en 2027….
Après avoir failli, pour diverses raisons, décidé de ne pas aller jusqu’au bout du mandat 2020 / 2026,
non seulement je ferai tout pour aller jusqu’au bout de ce mandat mais j’ai décidé de « tenir les rênes » en 2025 pour préparer un Projet 2026 / 2032 pour Villeneuve d’Ascq
avec toutes celles et tous ceux qui voudront bien m’y aider
et ce, avant de préparer une liste de candidats à l’image de la majorité actuelle unissant dans le » Camp du Progrès » républicain, social, citoyen et laïc,
des candidats contre les extrémistes et les populistes pour qui les municipales ne seraient qu’un « marche pied » vers l’Elysée… ou (et) pire en fonction de la situation internationale…
Je l’ai déjà dit et je le répète en ce 31 décembre 2024 à 15 mois (peut-être…) des prochaines municipales,
je ne resterai ni muet ni inerte si le risque de nous voir régresser s’imposait après les 50 ans qui nous ont vu passer du stade de Lille-Est à celui de Villeneuve d’Ascq, Ville nature et nourricière,
Ville universitaire, Ville citoyenne,… et Ville olympique.
Qu’on se le dise dans certains couloirs et dédales où se concoctent des scénarios… qu’ils me trouveront devant eux.
Bonne année « quand même » à elles et eux…
et surtout une très bonne année à mes fidèles lecteurs et soutiens… voire bien au-delà !
Le bonheur nous appartient… à nous de le saisir, à imaginer le futur, à ne jamais cesser d’en rêver et à continuer toujours à l’écrire…
