UN 27 FEVRIER ….
J’avoue que ces derniers temps, j’ai de plus en plus de mal à écrire mon carnet hebdomadaire vu que les « cieux » d’assombrissent de jour en jour et de semaine en semaine tandis que « les princes qui nous gouvernent », tout comme ceux qui d’ailleurs voudraient nous gouverner, nous donnent chaque jour des images et des preuves de leurs médiocrité (et le mot est modéré ), ce qui est vrai à tous les niveaux de notre Démocratie, de l’Elysée à certains Hôtel de Ville, en passant par beaucoup de départements et d’une majorité de Régions.
Pour tout dire, c’est parfaitement dépriment, quand, comme moi, on ne veut pas se contredire et qu’on est donc condamné à se répéter, sinon à rabâcher… au risque de lasser mes lecteurs.
Cette semaine n’a pas manqué d’exemples et pour n’en citer qu’un qui frise le grotesque…. c’est Sandrine Rousseau, qu’on n’avait pas entendue ces derniers temps dans « ses œuvres », qui s’est mise à chanter dans l’hémicycle de l’Assemblée Nationale…
Au moins cela peut encore nous faire sourire contrairement certains vire voltage politiques du Président Macron au Moyen Orient et pas que …
et même si je conçois que ce n’est pas simple pour lui … il y a quand même « manière » et « manière »…
C’est vrai de beaucoup de Départements et de Régions dont les Présidents, pour retrouver le chemin des médias, se dégagent financièrement d’un certain nombre de leurs dépenses qui pourtant sont légalement les leurs, pour s’offrir « des événements » qui n’en font pas partie mais qui font davantage parler d’eux…
Quant aux Métropoles, on n’échappera pas un jour à devoir ajuster le mode de désignation de ses élus à l’importance de leur pouvoir de décision même si, par exemple à la MEL, tout est fait pour respecter au mieux les maires des 95 communes qui la composent…
Il n’empêche que le problème se posera un jour entre « davantage de démocratie dans toutes les métropoles » avec l’absurdité d’aboutir à la disparition, de fait, de nos 34 955 communes et de leur près de 500 000 élus locaux qui sont au cœur de la citoyenneté de notre pays et de la nécessité d’un aménagement du territoire plus équilibré.
Oui donc, ce n’est et ce ne sera pas facile… mais alors finalement pourquoi ce titre : « Un 27 février… » ?
Réponse : pour plusieurs raisons !
D’abord durant la nuit dernière je me suis surpris à fredonner une chanson de Georges Brassens
» Un 22 septembre… au diable vous partîtes… «
Ce qui m’a fait penser à une date qui a marqué ma vie comme par autant « de petits cailloux » … , la date du 27 février…
Un 27 février 1945… à l’aube je naquis » à Royaucourt-et-Chailvet dans l’Aisne dans la maison familiale comme cela se faisait à l’époque…
Un 27 février 1976… je siégeais pour la première fois au Conseil Municipal de Villeneuve d’Ascq après ma victoire aux élections partielles…
Un 27 février 2000… j’annonçais aux villeneuvois ma décision de ne pas être candidat au poste de Maire en mars 2001…
Un 27 février 2002… j’annonçais la création de « Rassemblement Citoyen » ce qui me valut les foudres du petit monde politique socialiste pourtant déjà bien réduis puisqu’en mai 2002 le candidat socialiste Lionel Jospin était éliminé, sans que ce soit de sa faute, laissant face à face au 2ème tour des Présidentielles Jacques Chirac et Jean-Marie Le Pen.
Un 27 février 2006… date à laquelle je décidais d’être à nouveau candidat à la mairie de Villeneuve d’Ascq en mars 2008, une élection que je devais gagner malgré des manœuvres de toutes natures dont les plus dangereuses et les plus odieuses sur lesquelles je reviendrai… bientôt…
Un 27 février 2012 enfin… un triste jour où j’enterrai mon père à Mons en Laonnois près de ma mère un lundi 27 février car aucune autre date n’était possibles vu qu’il était décédé durant la nuit du jeudi 23 février, un jour, ce 23 février, qui fut longtemps le jour de la « Saint Gérard » avant de passer au 3 octobre…
6 exemples donc auxquels j’aurais pu rajouter quelques autres, certes de moindre importances… mais 6 seulement car j’ai voulu me garder pour la fin « Un 27 février »… qui « bouclera la boucle » ouverte le 27 février 1945.
Vu tout ce que je lis, tout ce que j’entends et tout ce que je sens se préparer autour de moi non seulement pour m’éliminer… car il suffirait d’un peu de patience pour attendre la fin de mon dernier mandat en juin 2026… ce qui « m’offrirait » cette belle image de 50 ans passés en service des citoyens villeneuvois, de Villeneuve d’Ascq et surtout de mes valeurs Républicaines de Liberté, Égalité, Fraternité, Laïcité…,
mais cela ne suffit pas à celles et ceux dont j’ai brisé les espoirs financiers et politiques durant ces 50 ans, qui voudraient aussi en me brisant, briser l’esprit de « Rassemblement Citoyen », pour retrouver leurs jeux politiciens favoris entre partis, Verts, insoumis, socialistes, Républicains…, briser donc l’esprit de RC pourtant simple, moderne et citoyen qui veut :
« qu’il n’est pas nécessaire d’être d’accord sur tout pour bien travailler ensemble au service de tous !
L’article du groupe « gaucho, islamo, gauchiste avec un zeste de poutinisme » ACCES qui cible « Caudron » et, excusez du peu , « son manque de courage »… me fait halluciner…,
un exemple de courage à leur rappeler qu’il m’a fallu pour conserver 300 hectares de terres agricoles publiques qui devaient être loties, ce qui a fait perdre à certain(e)s près d’un milliard d’euros…
(quant on sait que 300 hectares laissés à l’agriculture … c’est 3 millions de m² à plus de 300 euros du m² … de perdus pour « les gagnants d’opérations immobilières » … soit près d’1 milliard d’euros
certain(e)s « ne manquent donc pas d’air, pour dénoncer mon « manque de courage » , un courage qui, entre autre, a contribué à faire de Villeneuve d’Ascq la 2ème ville de la MEL de par son attractivité alors qu’elle était destinée, dans l’esprit de Pierre Mauroy… mais pas que lui, à n’être un quartier lillois « Lille Est »… (rappelons nous le nom de la ville nouvelle « EPALE », établissement public d’aménagement de Lille est) , un quartier donc qui aurait été le « pendant » du quartier de « Lille Sud »… dont on connait la situation aujourd’hui…
Cela dit, s’agissant des opposants d’ACCES qu’on ne voit d’ailleurs nulle part dans la Ville sinon dans « des niches d’insoumis » voire pire …
je leur reconnais quand même qu’il leur faut du courage pour rester avec des Mélenchon, Rousseau … et bien d’autres « qu’on les voit baver leurs haines anti Républicaines dans nos médias…
Alors, oui, le 7ème « 27 février » sera un jour important soit dès 2024, si on ne me laisse pas d’autres choix, soit le 27 février 2025, soit le 27 février 2026 pour simplement annoncer ma date de départ… et donc de « descente du train »
- Je pourrai alors m’occuper des conditions de ma fin de vie… et j’aurai le temps d’écrire un livre « sanglant » dont j’ai déjà le titre « Mes parts de vérité » en écho à François Mitterrand qui écrivit « Ma part de vérité » car « mes parts de vérité », si elles éclaireront vraiment sans concession beaucoup de choses, d’évènements, de femmes et d’hommes, n’auront bien sûr pas la prétention d’être un projet cohérent pour la France comme le fut l’ouvrage de François Mitterrand d’alors « ma part de vérité »
Ce sera davantage dans le style de mon petit ouvrage de 2006 « Comme des p’tits coquelicots » … mais en beaucoup beaucoup plus dur car si mon livre de 2006 ne contenait aucune choses que je ne pensais pas… il ne contenait pas tout ce que déjà, à cette époque, j’avais envie de dire… ce qui ne manquera pas de permettre à ceux qui me haïssent (sinon pire)… d’avoir quelques raisons de plus pour cela…car je serai alors complètement libéré…
On le voit, si pour George Brassens « un 22 septembre aujourd’hui il s’en fout »
ce n’est pas, ni ne sera, pour moi le cas d’un 27 février…